Poèmes composés mentalement l’après-midi, allongé à l’ombre, lors d’une halte, à Girolata, le 18 mai 1995.
Dix ans plus tard Benoît Jacques va en Corse et prend des croquis. Images et textes maintenant indissociables. Livre presqu’entièrement fait main, j’ai vu les gravures sécher tenues par des pinces à linge, nous avons cousu chacun des 315 exemplaires d’un fil rouge : c’est notre bestiaire.
Ce bref bestiaire a été traduit par Cid Corman et publié par Bob Arnold, Longhouse.
À lire ici : vaches (avec le dessin de Benoît Jacques), cows.
Ce recueil est épuisé. Ses poèmes ont été repris dans la nouvelle édition de Qui ne disent mot.