C’est quand le droit et le droit humain sont bafoués qu’il faut se servir du droit.
En ce sens les mouvements de désobéissance aux nouvelles lois sont nourris de la connaissance du droit : ils savent quels droits sont violés et détruits, et ils se battent pour une restauration ou une refondation du droit - un droit qui donnerait droit aux vieilles traditions d’hospitalité.
"Le Gisti est né en 1972 de la rencontre entre des travailleurs sociaux, des militants associatifs en contact régulier avec des populations étrangères et des juristes."
Je me suis abonné à la liste de diffusion (et vous invite à en faire autant, bien sûr) ; c’est ici.
Les militants du Gisti rappellent quelques bons principes et surtout qu’on doit s’y tenir. Ainsi de l’indépendance : "Si le GISTI est fortement interpellé, c’est sans doute qu’il est utile. La survie de l’association paraît donc constituer en soi un objectif légitime. Encore faut-il que le souci de sa continuité n’hypothèque pas l’indépendance du GISTI. Sauf à y perdre son âme, le GISTI doit absolument limiter la part des subventions publiques dans son budget."
Indépendance et solidité technique qui leur permettent de dire à un ministre de la soi-disant identité nationale et de la xénophobie d’état, qu’il ment. Lequel menteur, pris au fait, n’a d’autre recours que de mentir encore et encore, comme l’analyse bien Maître Eolas sur son site. Oui, le GISTI est très crédible.
Il y a toutes sortes de manières de les aider.
Journal de la crise de 2006, 2007, 2008, d’avant et d’après, effondrement jour après jour.
Publication intégrale de 2006 sur le site de Laurent Margantin, Œuvres ouvertes, tous les lundis et jeudis. Voir la présentation et le sommaire avec les liens directs vers les épisodes parus.
Quelques-unes de mes sources.