L’enfant qui tire la porte serait entraîné par la lumière
Ne grandirait pas précipité par la vitesse dans l’instant
À jamais résistant contre le mouvement debout sur ses jambes
ébranlées par la fuite des talus – des maisons
Ce qu’il ferme est à lui
Son mouvement aussi
27 mars 2000
Poème composé sur une photo de Vincent Leroux, à la demande de Martial Verdier, pour le catalogue du 4e Mois Off de la photographie (Paris, 2000).
Le Temps des Cerises, éditeur, page 14. ISBN : 2-84109-079-5